Le blog de Florina est un espace éclectique qui permet à Florina de s'exprimer sur les sujets qui lui sont chers : l'actualité, les médias, la monarchie, les people, la politique, l'art, les bons et les mauvais côtés du système ... etc ...
L'actrice espagnole a signé pour jouer le rôle de la fille du
personnage Blackbeard, interprété par l'acteur britannique Ian McShane,
dans Pirates des Caraïbes : On Stranger Tides.
Jerry Bruckheimer souligne "Elle est la fille du méchant... Le
personnage joué par Penelope va avoir une aventure avec le Capitaine
Jack."
Les deux acteurs avaient déjà joué ensemble le rôle du mari et de la femme dans le film Blow en 2001.
En tournée en Suisse avec son orchestre de jazz, le créateur d’Accords
et Désaccords a posé un instant sa clarinette pour évoquer son prochain
long-métrage. Terrible déception, Carla Bruni-Sarkozy ne serait plus au générique…
Madame Sarkozy n’a fait jusqu'à présent que deux brèves apparitions sur grand écran. Dans Prêt-à-porter de Robert Altman
et dans Paparazzi, d'Alain Berbérian, la top-modèle ne jouait
d’ailleurs qu’un ravissant porte-manteau… Entre Carla et Valeria
Bruni-Tedeschi, actrice habitée, spécialiste des filles décalées,
excessives et névrosées, scénariste experte dans l’autodérision, les
places étaient bien gardées.
Enfin, Woody Allen
allait offrir à notre First Lady, plus qu’une revanche sur sa sœur, une
vraie incursion dans le cinéma d’auteur! Pourtant, il semblerait que la
nouvelle carrière de notre mannequin à la taille cintrée soit
compromise. Les ambitions artistiques de Carla Bruni seraient
contrariées par son statut de maîtresse de l’Elysée.
C’est au début de l’été 2009 que l’homme à lunettes révélait son obsession pour notre grâce présidentielle.
De passage dans la capitale pour promouvoir Whatever Works, le
réalisateur célèbre pour son humour désespéré à coloration
psychanalytique rencontrait la presse. «Si vous pouviez faire
tourner dans un de vos films une figure assez forte comme la reine
d'Angleterre ou le Dalaï Lama, qui choisiriez-vous?», lui avait-on demandé. «Sans l'ombre d'un doute, Carla Bruni», avait alors lancé le septuagénaire bien inspiré. «Je
suis sûr qu'elle serait merveilleuse. Elle a du charisme et elle a
l'habitude de se produire en public, et je pourrais lui donner
n'importe quel rôle», avait-il argumenté.
Affranchie comme Diane Keaton, fragile comme Mia Farrow,
irrésistible comme Scarlett Johansson, Carla Bruni-Sarkozy avait
conquis le cœur du comique ashkénaze. Et l’Amoureuse de Nicolas
s’enthousiasmait de devenir la muse de l’Intello jazzy.«Je ne
sais pas de quoi il s'agit, mais j'ai dit ‘Oui’... Je ne peux pas
laisser passer une telle opportunité. Lorsque je serai grand-mère,
j'aimerais pouvoir dire que j'ai fait un film avec Woody Allen», s'était réjouie notre douce musicienne, 42 ans au compteur.
Notre icône républicaine avait déjà la voix profonde et rocailleuse de ses égéries et la collection intégrale de ses DVD… Mais finalement, Woody Allen a eu peur de revivre le Rêve de Cassandre. Invité de la télévision suisse (TSR) le 17 mars, l’auteur de Manhattan s’est montré circonspect sur la présence de la femme du chef de l’Etat au casting de son prochain opus. Ses obligations officielles empêcheraient Carlita de briller devant la caméra.
«Carla Bruni-Sarkozy n’est pas une artiste qui gagne sa vie en jouant la comédie.
C’est la première dame du pays. A tout moment, elle peut être prise par
un déplacement dans un pays étranger, une crise politique majeure...», a-t-il observé. «Avec
une actrice on fait un contrat. Avec Carla, il faut tenir compte des
risques qu’il peut y avoir, des événements de dernière minute. Il n’y a
aucune certitude, et le fait de l'embaucher pour le film est loin
d'être certain…»
Saluant à
nouveau la beauté de la Méditerranéenne (un compliment en guise
d’excuse?), Woody Allen s’est fendu de quelques précisions sur le type
de personnage qu’elle serait susceptible d’incarner. «Pas un premier
rôle. Avec son agenda surchargé, c’est trop compliqué», a remarqué le
cinéaste. «Mais ce serait intéressant de la voir évoluer dans un rôle
distrayant et amusant qui pourrait avoir un impact de par sa
personnalité».
Toujours charmé par la créature du Palais, mais résolu à l’oublier, l’Américain -qui devrait présenter à Cannes You Will Meet A Tall Dark Stranger, avec Naomi Watts et Antonio Banderas-, exhibe déjà une affiche de prestige pour son drame romantique à venir. En effet, Marion
Cotillard (La Môme, Nine), Rachel McAdams (Sherlock Holmes) et Owen
Wilson (Marley & Moi) ont eux, un planning qui leur permet de
tourner cet été, à Paris… Maudite Aphrodite!
Selon
notre correspondant à Paris Jean-Noël Cuénod, les rédactions
parisiennes bruissent de rumeurs concernant le couple Sarkozy. Si les
épisodes "Benjamin Biolay" pour l'une et "Chantal Jouanno" pour l'autre
ne sont pas confirmés, il semble bien que les relations entre le
président et Carla Bruni-Sarkozy sont au plus bas. Le refus de Nicolas
Sarkozy d'inaugurer le Salon de l'Agriculture - qui avait choqué les
organisations paysannes - pour se rendre dans la propriété de la
famille Bruni au Cap Nègre s'expliquerait donc par cette dégradation
des rapports au sein du couple. De plus, la chanteuse Carla Bruni avait
laissé filtrer dans des interviewes quelques discrètes allusions sur le
fait qu'elle ne souhaitait guère que son mari rempile pour un second
mandat. Et c'est ce qui inquiète ces journalistes. Après la
rupture avec sa deuxième femme Cécilia, Nicolas Sarkozy était apparu
déstabilisé, ce qui, pour un chef d'Etat qui dispose d'autant de
pouvoirs, n'est pas sans conséquences politiques.
Présents aux Jeux Olympiques de Vancouver, quatre ans après avoir
officialisé leur relation à Turin, le Prince Albert II et sa douce
Sud-Africaine ont accepté de poser ensemble pour la première fois en
privé, pour le magazine Point de Vue. Une décision qui relance les
rumeurs selon laquelle leur union pourrait être très prochaine.
Vêtus avec décontraction, c'est au coin du feu qu'ils se sont exprimés
devant les journalistes, après une journée sous la neige. Sur le
cliché, Albert, toujours dans la tourmente suite à l'affaire qui
l'oppose à son ex-espion (nous en saurons plus à partir du 24 mars
prochain) et sa fiancée Charlène apparaissent détendus.
Le sport occupe, on s'en doute, sa place dans leur couple. "J'aime
découvrir de nouvelles activités pour "rester en forme et sur la même
longueur d'ondes. Charlene est très athlétique et adore la nouveauté",
a déclaré le souverain.
Celle qui s'appellera peut-être un jour Charlene Grimaldi a de son côté
exprimé son enthousiasme à l'idée que la prochaine Coupe du monde de
football se déroule dans son pays natal, et vouloir plus que tout que
l'Afrique du sud accueille aussi les J.O. dans douze ans. Bref,
l'accord parfait. Serait-ce suffisant pour les engager plus avant?
En juin dernier, le prince Albert déclarait déjà au JDD: "Je ne me
réveille pas tous les matins avec la pression du mariage et de
l'héritier légitime. Cela se fera quand le moment sera venu. Pour
l'instant, je n'y suis pas prêt". Neuf mois plus tard, il continue à
entretenir le flou artistique: "Mon mariage? C'est quelque chose qui
est imaginable. Je suis toujours touché que l'on se préoccupe de mon
bonheur personnel".
Voilà qui ne nous avance guère, mais relance notre curiosité! Il est fort, cet Albert!
Synopsis: A l'époque de Brejnev, Andrei Filipov était le plus grand chef d'orchestre d'Union soviétique et dirigeait le célèbre Orchestre du Bolchoï. Mais après avoir refusé de se séparer de ses musiciens juifs, dont son meilleur ami Sacha, il a été licencié en pleine gloire. Trente ans plus tard, il travaille toujours au Bolchoï mais... comme homme de ménage. Un soir, alors qu'Andrei est resté très tard pour astiquer le bureau du maître des lieux, il tombe sur un fax adressé au directeur : il s'agit d'une invitation du Théâtre du Châtelet conviant l'orchestre du Bolchoï à venir jouer à Paris... Soudain, Andrei a une idée de folie : pourquoi ne pas réunir ses anciens copains musiciens, qui vivent aujourd'hui de petits boulots, et les emmener à Paris, en les faisant passer pour le Bolchoï ? L'occasion tant attendue de prendre enfin leur revanche...
John Anthony Westwood, le plus grand fan de foot anglais
Portrait d'un homme atypique, figure emblématique de la passion pour le football en Angleterre. Le personnage a eu droit à un tableau à son effigie, exposé à la "National Portrait Gallery".
Photo : Keystone (AP Photo / Tom Hevezi)
John Westwood photographié le 23 janvier 2010 lors d'un match de la FA Cup contre Sunderland.
Comme beaucoup d'Anglais, il est tombé dans la marmite du football quand il était tout jeune. Depuis, c'est sa passion, sa vie même. A tel point que sa femme l'a quitté, lorsqu'elle a compris qu'il ne changerait pas. Père de deux enfants et libraire, l'homme aime aussi les livres. Quand il n'est pas au stade, le "Fratton park", sa bouquinerie l'occupe le reste du temps. Dévoué corps et âme à son club, le Portsmouth Football Club, John Anthony Westwood a même fait changé son nom en 1989 pour "John Anthony Portsmouth Football Club Westwood". Quand on aime, on ne compte pas.
Si certains fans revêtent le maillot de leur équipe pour aller au match, John Westwood possède une panoplie beaucoup plus complète: clairon, veste, chapeau et perruque au couleur de l'équipe et surtout 60 tatouages, signes de son amour et de son dévouement. Sur sa poitrine on peut lire en grand: "I'm Portsmouth 'til I die" (Je suis Portsmouth jusqu'à ma mort). Quant à son appartement, il ressemble à la boutique souvenir du club, même si son autre passion pour les livres transparaît aussi.
Il n'est peut-être pas le plus grand fan de football anglais à proprement parler, mais en tout cas pas loin de l'être. Il est devenu une icône de la passion pour le foot après que l'artiste Karl Rudziak lui ait consacré une toile. Ce dernier, également habitant de la ville depuis toujours, en a eu l'idée lorsque Portsmouth a gagné la coupe d'Angleterre en 2008 contre Cardiff City. Histoire de marquer le coup, le peintre a immortalisé l'ardent supporter. Le portrait, après avoir remporté une compétition locale, a ensuite été accepté pour faire partie de l'exposition nationale "BP Portrait Awards 2009" à la "National Portrait Gallery" de Londres.
Pour la petite histoire, la toile de John Anthony PFC Westwood a voyagé ensuite dans différentes villes d'Angleterre, avec le reste de l'exposition. Première étape de la tournée: la ville de Southampton, grande rival du PFC. Une inimitié qui a même inquiété le conseil de la ville, se demandant s'il ne fallait pas enlever la toile pour éviter des actes de vandalisme. Mike O'Callaghan, le président d'une association de supporters de Southampton avait même déclaré à propos du tableau: "It should be taken down or better yet, taken down the pub and put on a dartboard." (Il devrait être décroché, ou mieux encore, pris dans un pub et mis sur un jeu de fléchettes).
Finalement tout s'est bien passé et l'art a pu s'exprimer librement malgré les passions footballistiques. Une anecdote qui en dit long sur le pays où le football est roi. Un fan anglais, épouse le ballon rond, comme un prêtre le sacerdoce. Reste que pour John Westwood, participer à l'une des plus prestigieuses expositions de portrait au monde l'a fait sourire. Il a ainsi déclaré à un journal de Portsmouth: "I can't believe I'm going to be in the National Portrait Gallery. If Henry VIII thought I would be hanging in the same gallery as him he would probably have had my head chopped off." (Je peux pas croire que je vais être à la National Portrait Gallery. Si Henri VIII avait pensé que je serai accroché dans la même galerie que lui, il m'aurait probablement tranché la tête).
UNE TRENTENAIRE HANDICAPÉE CONDAMNÉE POUR AIMER UN MINEUR
1
Une femme de 36 ans, lourdement handicapée, a été condamnée hier à deux mois de prison avec sursis, par le tribunal de Brest,
pour avoir eu une liaison avec un adolescent de 17 ans. Plus
précisément, cette femme était poursuivie pour « soustraction d’enfant
», révèle « Le Télégramme de Brest ». L’enfant en question est un ado
qui vit, depuis juin dernier, à l’internat la semaine et dans une
famille d’accueil le week-end.
Romance de longue date
Sauf que très vite, cet ado préfère passer ces fins de semaines chez
cette trentenaire, rencontrée sur Internet en 2008. Si la romance ne
date pas d’hier, les juges, eux, ne l’ont pas entendu de cette oreille.
En plus de sa peine de prison avec sursis, la femme se voit désormais
interdite de rentrer en contact avec son amant mineur pendant 18 mois. Celle-ci a donc décidé de faire appel.
« Ni l’un ni l’autre ne sont décidés à rompre leur liaison", a déclaré
son avocat, Me Yves Chevasson. Selon ce dernier, si la trentenaire
était amenée à ne pas respecter la décision du tribunal en continuant à
fréquenter l'adolescent, il serait "inimaginable [qu'elle] se rende en
prison". A.S.